Claire n’aurait pas évident dire ce qui n’allait pas. Tout semblait fonctionner. Le professionnel suivait son fil. Les évènements s’enchaînaient, grâce à leur lot d’habitudes, de messages, d'initiatives à suivre. Mais durant deux ou trois jours, une problématique revenait, sans forme nette. Quelque étape à proximité d’un dépar

Une voyance. Quelques phrases. Pas plus. Mais quelque chose s’est aligné. Un soulagement. Pas parce que on a indomptable. Parce que c’est aperçu. C’est nommé. Une phrase. Qui tombe convenable là où le confusion commençait. Une souffle. Plus profonde. Moins de tension dans les épaules. Moins de bruit dans la forme du visage. Un incidenc

Une tension. Pas douloureuse. Juste constante. Comme un courant par-dessous la peau. Une hésitation. Trop d’options, pas énormément de pureté. Le psychologique acte des boucles. L’intuition est absente. Ou toutefois qu’elle parle, mais trop doucement. Un réflexe. Ouvrir un onglet, assommer une phrase. Chercher une situation sous la main.

Une voyance. Quelques citations. Pas plus. Mais quelque chose s’est aligné. Un contentement. Pas parce que on a valeureux. Parce que c’est vu. C’est connu sous le nom. Une phrase. Qui tombe exactement là où le fracas commençait. Une respiration. Plus importante. Moins de tension dans les épaules. Moins de bruit dans la tête. Un effet. Q

À Genève, en l’an 2185, la lisière entre pratique et impression avait crevé depuis longtemps. Dans un laboratoire situé marqué par la surface du lac, une rationnelle experte en neuro-optique développa un appareil propre : un rafraîchissement pouvant synchroniser ses reflets avec les impulsions nerveuses de celui ou ce qui le regardait. Ce